Le début de la fin. ( Terminer )

James rédigeait une lettre. La lumière tamisé, il était assis tel un ministre à son bureau, dans sa grande chaise en bois orné de gravure, les coussins recouvert de cuir, une main tenant son stylos plume plaqué or, l’autre portant lourdement sa tête en pleine réflexion et concentré. Il signa le bout de papier, inscrit c’est initiale « J.F » . Il trempa le tampon encreur dans l’encre rouge, il déposa le coussinet imbibée sur l’enveloppe, souffla délicatement pour sécher cette belle insigne qui est la marque de fabrique de son complot... Un aigle royal portant une couronne. Il lécha le papier pour fermer l’enveloppe. Il regarda une dernière fois le paquet. Son visage était parcourut de satisfaction et de fierté, un rictus diabolique traversa un instant ces traits, il en sourit férocement. Il s’avait qu’il avait en main se qui coûterait sa perte mais peu importe, c’était la le destin, ceux pour quoi il avait travailler toutes ces années. Le presque coup final, d’une oeuvre dont il avait été le créateur…

Nathan entra dans la pièce, la sourire narquois, il croqua la chair de la pomme qu’il venait de mettre dans sa bouche.
James lui tendis l’enveloppe.
Le jeune garçon, l’attrapa avec délicatesse, il l’a regarda un grand moment, puis ricana, James ris a son tour et ils partirent tous deux dans un fou rire démoniaque. L’homme fit soudain volte face , son visage se durcit, il attrapa le bras de Nathan, son neveu, plongea son regard dans le sien avec insistance.

Tu n’as pas le droit d’échouer . Dit-il comme s’il faisait des adieux déchirant

T’inquiète James. Il sourit, ravageur.

Je n’ai plus que toi. Pénélope à échouer... Une seule fois et maintenant, les mages nous surveilles... Je le sais, je le sent. Il jeta un coup d’œil à la fenêtre, inquiet.

L’autre Smith ne fera aucune bavure. Dit Nathan en jetant le trognon de pomme dans la poubelle.

Je sais… C’est moi qui est formé Maël. Soit prudent et remet lui cette lettre. Qu’il commence à regrouper les troupes, se sera bientôt le moment… Il s’arrêta, sourit toucha pernicieux sa petite moustache.