Elliminer Jonny Leach (Terminé)

Les rues de Pandor, étaient vivantes jour comme nuit, il y grouillait toute sorte de petit délinquant, dealer ou autre débile, rejeté de la société. Mais tout de même, il me fallait être prudente.
J’arrivais donc au lieu prescrit, le quartier m’était familier… J’habite deux rue plus loin.
Face à moi, une maison délabrée, un jardin à l’abandon et un portail ouvert à tous. Parfait, c’était du travail en moins. On dirait que se Jonny Leach sentait son heure arriver. Il y avait de la lumière à l’intérieur, je tombais donc sur un insomniaque… Ah, non suis-je bête… Les Mage sont tous aussi fou, ils passent leur nuit et leur journée, cacher à lire des grimoires magiques, à étudier la moindre petite chose insignifiante…
Je tambourinais à la porte. La serrure fit un tour, l’homme entre-ouvrit la porte, se cacha derrière la chaîne de sécurité, je vit un œil dépassé. Il me regarda de haut en bas, soupira comme exténué.

Je ne suis pas intéressé ! Dit-il comme s’il venait d’être dérangé.

Il voulu refermer la porte, je l’a retint avec mon pied.

Jonny Leach ?

Il réfléchie, il clignait anormalement les yeux, environs une centaine de fois pas minutes… Je lisais de l’anxiété sur son visage… Il s’attendait à cette visite.

Euh… Oui…?

Je souris, c’était purement exaltant, cette sensation de bien être, jouissante, qui montait en moi… Le sentiment de se sentir doubler de puissance en quelques centièmes de seconde. J’étais une névrosé, une toxico, j’avais besoins de ces pouvoirs, qui picotaient mes membres, me rendait fiévreuse et faisait pulser dangereusement mes artères…
J’attrapais la petite chaîne, l’arrachais d’une mains, avec une telle facilité que l’homme recula de dix pas pour en tomber en arrière. La porte s’ouvrait et face à moi, un homme d’une trentaine d’année, les cheveux longs et ébouriffé, le visage marqué de peur et les yeux rongés par la paranoïa. Quand j’avançais vers lui, il rampait à terre, se dirigeant vers son salon.

Pitié ! Pitié ! Ne faites pas ça ! Me suppliait-il

Le goût insoutenable de l’argent, me fit déglutir et assoiffait mes papilles… Cette adrénaline boostait mon corps, je n’étais plus que le pantin de mes désirs.

Je l’attrapais par le col, le soulevais sans mal. Je craquais ma nuque.

Qu...Qui êtes vous… ? Il bégayait

Te pisse pas dessus mon mignon, ça va être vite fais.

L’homme craquelait de l’intérieur, sa peau devint dure et rêche, ses yeux se révulsèrent, il devint aussi immobile qu’une sculpture grecque antique et aussi inerte et laid qu’un cadavre. Je balançais le corps pétrifié à terre, le pou de celui ci rythmait mes pas décider qui s’avançait à nouveau vers lui. Cette fois ci je pris mon pied, la chaleur faisait tremblé mes doigts, je me sentais me soulever du sol, une sphère dont la couleur et l’aspect était indescriptible jaillit de nulle par, pour explosé la totalité de la pièce et l’étage s’effondrait, sur les restes. Une lumière aveuglante transperça la nuit.
Je reprenais doucement mes esprits, mes yeux, mon corps, reprirent un semblant d’humain… Je ris, c’était trop bon…

Bon, c’est pas tout mais j’ai lycée, moi… Dis-je à la limite de l’inquiétude.

L’aube sûrement créer par mon explosion, avait été réveiller… J’étais enjouer, se matin était très riche, j’allais chercher mes billets vert, chez Carter.